8 août 2015, Je suis à
bord depuis une semaine déjà en télétravail, il faut tout boucler avant les
vacances, ça bosse dur, même pas de sortie le soir pour cause d’absence de GV
en réparation.
Samedi soir,
Isabelle arrive par le train à Lannion.
Dans la journée, j’ai récupéré et remonté ma GV, j'ai profité des horaires de marée au poil pour poser le bateau et remettre le coupe orin, que je n’avais pas pu remonter lors du carénage: la vis pointeau spéciale était manquante, l'ensemble se tenait par les concrétions de calcaire ...
Dans la journée, j’ai récupéré et remonté ma GV, j'ai profité des horaires de marée au poil pour poser le bateau et remettre le coupe orin, que je n’avais pas pu remonter lors du carénage: la vis pointeau spéciale était manquante, l'ensemble se tenait par les concrétions de calcaire ...
Tanteal posé à la cale Nord |
Le coupe orin est prêt a être monté |
On attaque
les vacances par une crêpe sur le port.
La nuit est
déjà tombée depuis longtemps mais j’attends d’avoir de l’eau pour retourner au
catway.
Le
lendemain, on fait les courses et on sort le Kayak pour un tour de l’Ile Millau
à une proximités de cailloux inimaginable en voilier !
La ballade
est sympa sous le soleil de Bretagne mais le Kayak s’évertue à tourner à gauche,
ce qui crée des dissensions au sein de l’équipage sur la manière de gouverner…
Photo illustrant le débat... |
Nous mettons
pied à terre au débarcadère de l’ile et changeons de place, le Kayak tourne
toujours à gauche, y’a pas que le barreur !
La technique
de gonflage et de positionnement des boudins mérite encore des
ajustements !
10
août : Trébeurden > Ploumanac’h
12,1 Nm
Les pleins
d’eau et de GO sont faits, les niveaux et les tensions de courroies sont OK.
Départ dans
l’après midi avec le flot, un vent d’ouest 3 à 4 de travers nous emmène
gaillardement vers Ploumanac'h.
Le temps est
gris, un peu de pluie, bienvenue en manche.
On ne se
lasse pas de L’entrée a Ploumanac’h, un spectacle magnifique, pour moi un des
plus beaux de Bretagne.
Nous
remontons le chenal jusqu’au petit port, le coef est faible et nous avons de la
latitude pour entrer ou sortir.
Nous nous
amarrons seul sur les lignes d’haltère, pour une fois ça se passe super bien
malgré l’accueil du port qui n’a pas le temps de nous aider.
Je gonfle
l’annexe et nous allons nous balader dans le village préféré des français…
On passe
d’ailleurs plutôt le temps à chercher une supérette qui n’existe plus et un
maître de port fantôme qui nous pose des lapins…
11
août : Ploumanac’h > Port Blanc
10,7nM
Il faut
partir avant 10h30 sinon, il n’y a plus d’eau !
là, ça ne passe plus... |
Je passe à
la capitainerie qui est sensée ouvrir a 9H mais à 9h15 toujours personne…
Je m’apprête
à m’en aller, ça fait depuis hier soir que j’essai d’attraper le Maître de
port.
Finalement
il arrive, je paie rapidement et retourne au bateau.
Il faut
dégonfler et ranger l’annexe, et puis départ en fanfare, il reste 1,50 m d’eau
ouf !, ça passe.
Un vent de nord-est nous cueille, je tire un bord jusqu'à l’ile Thomet, au virement, l’objectif est en face, le vent faiblit, il pleut…
Je démarre
le moteur et nous rentrons directement à Port Blanc.
Peu de
visiteurs aux bouées, la houle rentre un peu dans le mouillage, le vent doit
passer au nord – nord ouest 5 à 6 B, ce qui promet des nuits agitées, d’où la
fuite des habitués…
Bruno viens
nous chercher sur son Zodiac et nous emmène au camping ou nous dégustons des
superbes filets de poisson péchés la veille.
Puis les
filles vont faire des emplettes à Lannion pendant que nous allons en Zodiac remonter
les filets et les casiers avec Bruno et Julien, le fiston, c'est broucouille pour cette fois.
La soirée se
termine à la crêperie Saint Gildas (une sorte de tradition) puis retour le soir
au bateau.
Vue la nuit
qui se préparait, nous sommes restés raisonnables mais finalement le vent était
là mais la houle a su se montrer discrète... Ouf !
12 août :
Port Blanc > Lézardrieux
26,2 Nm
Nous partons
le matin vers 10 h avec un vent de Nord Est 4 à 5, moteur + GV à tirer des
bords de prés (le vent de face) jusqu'à la jument d’Héault.
Puis la
route s’oriente sud sud-est, ce qui permet de finir a la voile, au prés, puis bon plein et
enfin au vent arrière en entrant dans la rivière du Trieux.
L’arrivée
est superbe sous le soleil en glissant doucement dans la rivière, porté par le
vent et le courant.
La météo
nous a prévu des rafales sous orage en fin de journée, j’avais donc appelé le matin le
port pour savoir s’il y avait de la place pour le soir, une voix de jeune fille
me répond : pas de réservation mais pas de problème, il y a de la
place : super, le mouillage à Bréhat ne me disait pas trop au vu du temps prévu…
Nous
arrivons plein de confiance, j’appelle en VHF le port qui m’annonce complet
pour ce soir !
Je lui
explique mon appelle de ce matin et fait un tour d’honneur autour du port.
Je vois le
catway au milieu de l’eau vide, je demande (toujours par VHF) à tout hasard au maître de port si
je ne peux pas me glisser là : Non, désolé, tout est réservé (tiens,
bizarre pour un port qui ne fait pas de réservation !)
Bon, ne
faisons pas de vague, je le remercie pour les infos, au revoir et à bientôt...
Je remonte
péniblement le courant vers Bréhat ou à défaut sur Saint Quay, et là, un canot
rouge me rattrape : c’est le maître de port qui m’annonce avoir trouvé une
petite place pour moi !
Nous
retrouvons Serge et Jocelyne du club de saint Mammès qui vont nous promener
pendant les 2 jours de pluies diluviennes (c’est le port d’attache de leurs
Biloup 9 à quelques mètre de nous)
Pontrieux et
ses lavoirs
Le tout
agrémenté de restaurants.
Bref, un
moment sympa et opportun sous cette pluie presque continue.
Nous
assistons également au départ des vieux gréements pour Paimpol.
Après ces 2 jours,
le temps devient plus clément et il est temps de partir, nous sommes attendus
dans quelques jours à Dinard mais nous avons un peu de temps pour batifoler :
donc direction Saint Cast, nouveau port et lieu inconnu pour moi (Isa ayant
déjà crapahuté sur le sentier des douaniers dans sa grande enfance)
15 août
Lézardrieux > Saint Cast
42 Nm
Nous partons
vers 8h30 en fin de jusant, ce qui nous permet de bénéficier du courant pour
descendre le Trieux et traverser le chenal entre Bréhat et la cote.
Au final
traversée tranquille oscillant entre peu nuageux et soleil.
Le cap
Fréhel est dans ses bons jours (et nous le passons avec vent et courant dans le
même sens !)
La dernière
fois, nous avions planté des pieux devant lui, avec un équipage malade et une
traversée interminable...
Arrivée vers
19h, le maître de port nous cale (c’est le bon terme) sur les premières places
du ponton à coté d’un bateau de régate, l’emplacement est tellement petit que
les gros pare battes ne permettent pas de rentrer dans la place, je découvre
les propriétés de l’effet de coin!
Le régatier n'est pas resté longtemps |
Petit tour en ville, Isa tombe sur une connaissance ferroviaire et on se fait un resto pour fêter nos 10h30 de nav paisible (La joue de boeuf était le bon choix)
En rentrant
au port, c’est la fête sur la plage, DJ et feu d’artifice nous font coucher
tard.
Le lendemain
après une grasse mat’ bien méritée, nous allons nous balader (ou marcher selon
les personnes) sur le sentier des douaniers : La baie du Frémur et le fort
de la Latte et un camping assez curieux avec un lac au fond d’une sorte de
gouffre… du coté de la pointe du Chatelet.
17 août
Saint Cast > Saint Malo
10 Nm
Un petit
saut de puce jusqu’au port des Sablons.
Beau temps,
petit vent de sud F2, arrivé à 11h après 2h30 heures de navigation.
Je prends le
chenal de la grande porte, route relativement directe et « propre »
Nous
mangeons à midi au petit restaurant en bord de plage devant le port des
Sablons, tiens ! Ce sont des chtis qui tiennent l’estaminet…
Le port des Sablons comporte un seuil a +2M |
Dans l’après
midi, nous faisons quelques courses et un piquenique le soir le long de la Rance.
Le lendemain, Brigitte et Christophe nous emmène chez eux à Dinard pour nous permettre de passer enfin une nuit au sec et au chaud (mais il n’avait pas encore vu notre superbe yacht !) Nous en profitons pour charger dans leur voiture le Kayak de mer et tout l’équipement qui va avec.
La photo au bord de la Rance |
Le port a la nuit tombante |
Le lendemain, Brigitte et Christophe nous emmène chez eux à Dinard pour nous permettre de passer enfin une nuit au sec et au chaud (mais il n’avait pas encore vu notre superbe yacht !) Nous en profitons pour charger dans leur voiture le Kayak de mer et tout l’équipement qui va avec.
Le premier
soir, nos hôtes étant pris, nous allons manger une moule frite à Dinard.
Le lendemain
nous faisons une superbe ballade en Kayak entre les cailloux de Dinard, nous
approchons de près de l’ile aux cormorans.
L'appareil photo n'est pas étanche! |
Le repas du
soir nous permet d’organiser la sortie du Lendemain.
En fait nous
avions prévue d’aller à Jersey ensemble : Christophe et moi à la voile,
Brigitte et Isa en Ferry. Mais c’est pétole et 15 h de moteur ne nous emballe
pas vraiment, donc nous décidons de faire une petite ballade tranquille dans
les environs.
19 août Saint
Malo > Saint Malo
15 Nm
Départ vers
10h, il fait beau, petit vent de Sud Est (Nord annoncé) sans doute plus une
brise thermique.
Brigitte
monte sur un « gros » voilier pour la première fois.
Nous allons jusqu'à
Cézembre et jetons l’ancre en bordure de plage (il n’y a que là que c’est
autorisé)
Nous
décidons de rester à bord car il n’y a que la plage d’accessible, le reste de l’ile
n’est pas encore déminé de la dernière guerre (il y a eu une pluie de bombes
sur cette Île)
Après un
petit casse croûte bien sympathique, nous mettons le cap vers l’ile des Nebihens.
Christophe
propose de passer a travers les cailloux, plus prudent (chat échaudé…) je
préfère le chenal.
Nous tirons
des bords vers l’ile que nous n’atteindrons jamais faute d’une brise évanescente
qui nous abandonne peu à peu et nous laisse à la merci du courant…
Finalement,
après avoir joué a vire a gauche vire a droite avec un chalutier à la
trajectoire erratique, nous repartons vers le port, toujours en tirant de bord
a rase cailloux, le vent est reparti et nous filons bon train, on laisse passer
un NGV qui navigue bien moins vite qu’avant dans cet espace restreint.
La dernière
ligne droite est au coude à coude avec des voiliers de régate, mais grâce a la
brise soutenue, nous ne sommes pas ridicules et en plus on passe un bon moment !
Rentré au
port nous repartons à Dinard, la journée a été bonne, j’ai l’impression que l’équipage
a apprécié : super !
Le lendemain
est dédié a une ballade a vélo dans les environs : nous ferons la côte
jusqu’à Saint Lunaire. Sympa et disons mieux que la dernière fois qui avait fini a
l’hôpital et quelques points de sutures.
Après ces
quelques jours bien agréables, il faut se décider : Jersey ou pas Jersey ?
Chausey ?
La météo va
décider pour nous : peu de vent dans les jours qui viennent et avis de
coup de vent le lundi : 6 à 8 Beaufort prévue Lundi et à chaque mise à
jour le mardi, mercredi et jeudi se dégradent aussi.
J’opte pour
la solution de retour rapide car nous avons des copains à voir à Trébeurden,
les conditions se dégradent de plus en plus sur les prévisions, nous risquons
de nous faire coincer.
21 août
Saint Malo > Saint Quay
35 Nm
Départ 9h
Météo prévue :
beau avec vent de sud prévue mais ce sera du Nord est 1 à 2.
Nous ferons
bien peu de voile pure car le vent est vraiment mou.
Arrivé à
19h15 avec 7 h de moteur…
Petit resto bar
Tapas (ou l’on prendra des planches charcuteries et fromages) le soir.
Au resto |
Là aussi |
Le port est en
effervescence avec la régate « Prince de Bretagne », le plateau est
un peu étriqué.
22 août
Saint Quay > Ploumanac’h ‘h
38 Nm
Nous partons
vers 10h30 et arrivons a Ploumanac’h vers 19h15
De la pétole,
de la Brume sur Bréhat nous voyons passer Prince de Bretagne, tel un fantôme…
Bref c’est une
étape de ralliement sans intérêt, que du moteur et du courant favorable (ce qui
est indispensable pour avancer dans le coin !)
8 heures de
traversée, 8 heures de moteur.
La météo a
prévu un orage le soir, nous arrivons dans le chenal mais il n’y a qu’un mètre
d’eau au seuil. On se met au corps mort juste devant le seuil pour attendre (ce qui me permet de suivre la hauteur d'eau à la jumelle), il
y a du monde derrière qui attend aussi…
Nous passons
dès 1,30 m au seuil pour s’amarrer avant l’averse qui pointe son nez.
Nous
rentrons et prenons un petit apéro bien mérité après cette traversée morose.
La plus
tombe et nous nous gargarisons de ce timing parfait qui nous a laissé au sec.
Et soudain,
un grand bruit dans le gréement me fait avaler de travers ma gorgée de Whisky !
Et je vois
par la descente un énorme bout dehors en bois passer entre le pataras, le
moteur d’annexe au balcon et le régulateur d’allure.
Je me
précipite dehors ; le gars a raté sa manœuvre, il est en train de m’embrocher !
Il fait
marche arrière et je guide le bout dehors pour qu’il ressorte sans tout
arracher.
Le gars est
seul, il ne peux pas se mettre sur les haltères seul et voulait se mettre à
couple sur moi !
La ligne de
mouillage visiteur est vide et Isa lui dit dans un élan de solidarité :
nous repartons demain matin !
Du coup, il
essai de se mettre devant nous mais ça ne va pas du tout. Je lui propose de
venir se mettre à couple de l’autre coté des haltères, ce qui lui permet de s’amarrer
sur nous et d’avoir le temps par la suite de se reprendre sur la ligne.
C’est chose
faite et nous pouvons directement l’amarrer correctement. C’est la bonne
solution. Tout se calme, on fait le bilan des dégâts : un peut de peinture
blanche sur le pataras, rien touché a priori.
Isa et moi
retournons dans le carré… trempés. Pour le Timing parfait, c’est raté.
Je reprends
une gorgée de whisky, je relève la tête et je vois l’étrave du bateau de devant
a quelques cm de mon régulateur d’allure.
Le bateau
(battant pavillon anglais) est mal amarré entre les haltères et la bouée
intermédiaire (il devrait être a couple sur les haltères et amarré devant
derrière sur les bouées intermédiaires).
Il n’y a
personne à bord (panneaux de pont ouvert sous la pluie, oups !), je retends
a fond mon amarre avant mais ce n’est pas efficace.
Tant pis, ce
soir, je verrais avec eux pour reprendre les amarres.
Je toque le
soir a l’étrave, une femme sort et je lui explique que les bateaux sont trop
proches (je renonce à expliquer le mode d’amarrage sur cette ligne)
Il faut qu’elle
réveille son mari qui sort quelques instants plus tard. Je lui montre qu’on se
touche, il retend plus ou moins son arrière et retourne se coucher.
Le résultat n’est
pas top, du coup, je démonte mon régulateur avant d’aller au lit.
Il est un peu exposé |
23 août :
Ploumanac’h > Trébeurden
15 Nm
Nous partons
à 10h30, avec le courant contre mais il y a de l’orage prévue le soir et le port
de Trébeurden ferme à 17h.
Le vent est
au SO 2B en diminuant
Nous tirons
un bord vers Triagoz, mais au virement, nous faisons des bords carrés :
peu de vent de face, le courant de face : une cata.
Nous
finissons au moteur + GV, le vent fini par tomber tout à fait et nous arrivons à
Trébeurden vers 14h30.
Les 4 jours
qui suivent vont êtres venteux et pluvieux.
Nous
organisons un apéro bateau avec un ex collègue heureux retraité, Luc dont la
femme, Gwen, est originaire de Treb.
Nous allons
également manger une fabuleuse choucroute de la mer chez un copain du lac de la
forêt d’Orient, Yan
Nous allons
visiter et prendre des repères d’échouage à Bréhat, notamment au fond de la
baie de la corderie ou on pataugera joyeusement dans la vase.
Me voilà
prêt à aller me mettre au fond de la baie sans avoir à se battre pour une bouée.
En 4h30 nous
faisons un bon tour de l’île avec une étape au restaurant la maison rose. Tout au
nord de l’ile, a proximité du phare du Paon.
C’est sur le
retour que je connais mon premier chavirage, un tracteur nous sort de cette
mauvaise passe et nous avons apprécié les propositions d’aide de nombreuses
personnes.
Le soir re-apéro
avec Luc et Gwen, il me fait visiter son nouveau VW camping car, super
astucieux !
Il doit
repartir, je ne lui propose pas de naviguer le vendredi avec Yan, c’est le seul
créneau de nav de la semaine à peu près potable.
Jeudi enfin,
un petit tour a Primel Trégastel et sur la rive qui mène à Morlaix, quelques
petits repères, un peu de tourisme.
28 août
Trébeurden > Trébeurden
28,5 Nm
Il fait beau
(enfin !) vent de SW 2 à 3, nous mettons cap vers Primel Trégastel tout
juste reconnu de la veille.
Nous sommes trois à bord et la tension
est palpable sur le bateau, nous tirons une bourre avec un Dufour 2800, quasi
voisin de ponton.
Le miracle :
nous finissons par le distancer, on se permet même de frôler le plateau de la Méloine
pour ne pas avoir à virer et perdre du terrain !
Le duf’
capitule et abat pour contourner la Méloine par le nord.
Nous virons
de bord très tôt pour se diriger vers Primel, le courant se chargera de nous
amener pile dessus.
Déjeuner sur
le bateau au mouillage au milieu de port et nous voilà reparti vers Locquirec
ou nous passons sous GV haute dans le port puis nous repartons vers Trébeurden.
La marée est
haute et nous tentons le passage entre l’Ile Millau et le continent, petit
passage d’une vingtaine de mètres entre les rochers.
Le passage à marée basse |
Grandiose.
La dernière
journée de navigation a été superbe, Yan, qui vise un Oceanis a peut être un
peu changé d’avis sur les Biloups, pas si fer à repasser que ça (du moins le
89)
Le samedi
est consacré au rangement, nettoyage et nous repartons dimanche vers Tours,
contents de nos petites vacances…
Retour a la page d'accueil
Certaines photos ne sont pas de moi, trouvés sur le Net pour illustrer le propos
Retour a la page d'accueil
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire